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Pacte pour la Belgique

Nous voulons une BELGIQUE qui vit, qui fonctionne de manière efficace, pleine d’avenir.   

Il est temps d’envoyer un signal positif, un signal de confiance et de désir de coopération mutuelle.  

En tant que pays, la BELGIQUE bénéficie d’un soutien important de sa population, et ce au sein de chaque communauté.  

Ce PACTE pour la BELGIQUE est une initiative de l’asbl B Plus (www.bplus.be), mouvement pour une Belgique fédérale et renouvelée.  

Les signataires du PACTE pour la BELGIQUE déclarent être d’accord avec les principes qu’il contient et s’engagent à les poursuivre, sans nécessairement se lier à B Plus.  

Ce faisant, ils veulent contribuer à l’instauration d’un climat de confiance. Ce n’est que dans un tel climat qu’une éventuelle nouvelle réforme de l’État, qui doit servir les intérêts de tous les citoyens et préparer la BELGIQUE aux défis de notre temps, pourra être réalisée. 

  •  En tant que pays réunissant trois communautés linguistiques et différentes cultures, la BELGIQUE est un atout et en même temps une opportunité. Elle ne doit pas être la proie du nationalisme, ni de la xénophobie. 
  • Il est impératif de promouvoir la connaissance et l’apprentissage des autres langues nationales.  
  • Nous adhérons aux principes du fédéralisme. Toutefois, la structure de l’État doit être simplifiée en vue de plus d’efficacité, y compris financière, au bénéfice de chacun. 
  • Une nouvelle réforme de l’État devra être équilibrée et ne pourra pas être un pas vers le séparatisme, ni vers le confédéralisme. Elle devra maintenir la solidarité interpersonnelle.  
  • La répartition des compétences entre l’État, les communautés et les régions doit servir l’intérêt de l’ensemble de la population. La refédéralisation de certaines compétences n’est pas un tabou. 
  • La structure de l’État doit être pensée dans une perspective à long terme et non en fonction des intérêts partisans du moment. 
  • La collaboration entre les collectivités fédérées doit être renforcée.  
  • L’autorité fédérale doit recevoir les moyens d’agir dans l’intérêt commun lorsqu’il s’avère que les entités fédérées ne sont pas capables de le faire à cause d’une divergence d’intérêts.