Durant l’été 2020, B Plus faisait déjà savoir qu’une soixantaine de personnalités belges s’étaient officiellement ralliées à son Pacte pour la Belgique. Durant les derniers mois, le nombre de personnalités soutenant les principes du Pacte n’a pas cessé de croître. Au moment de la rédaction du présent communiqué, 106 personnes ont déjà confirmé leur signature. Il s’agit de nouveau d’un public très varié de personnalités issues du monde économique, politique (dont un membre du gouvernement fédéral), des intellectuels de droite comme de gauche, du monde syndical, des acteurs du monde de la santé et du monde culturel et du monde sportif, des artistes, ainsi que des personnalités du monde académique.
Durant l’été 2020, B Plus faisait déjà savoir qu’une soixantaine de personnalités belges s’étaient officiellement ralliées à son Pacte pour la Belgique.
Durant les derniers mois, le nombre de personnalités soutenant les principes du Pacte pour la Belgique n’a pas cessé de croître. Au moment de la rédaction du présent communiqué, 106 personnes ont déjà confirmé leur signature.
Il s’agit de nouveau d’un public très varié de personnalités issues du monde économique, politique (dont un membre du gouvernement fédéral), des intellectuels de droite comme de gauche, du monde syndical, des acteurs du monde de la santé et du monde culturel et du monde sportif, des artistes, ainsi que des personnalités du monde académique.
Le Pacte pour la Belgique contient l'essentiel de la vision de B Plus sur l'avenir de la Belgique.
Le 17 décembre 2019, B Plus avait déjà soumis le même texte aux partis suivants: Open VLD, MR, PS, SP.A, CD&V, CDH, ECOLO, Groen, PVDA-PTB, qui ont tous fait signer le Pacte par leurs mandataires.
En janvier 2021, le Pacte pour la Belgique a obtenu le soutien des mouvements de jeunes Jong CD&V, Jeunes Cdh, Jong VLD, Jeunes MR, Jong Groen, Ecolo j, Jongsocialisten, Mouvement des Jeunes Socialistes et COMAC (mouvement étudiants PTB-PVDA).
Les principes du Pacte pour la Belgique, sont ainsi soutenus par des personnalités représentatives d'une société belge qui se lève contre la montée du nationalisme et la polarisation communautaire, et qui plaide pour une Belgique fédérale, efficace et solidaire. La crise sanitaire comme les crises liées au changement climatique montrent plus que jamais la nécessité d'une autorité fédérale ayant les moyens d'agir efficacement.
Plusieurs nouveaux signataires se sont exprimés quant à leur motivation à signer le Pacte pour la Belgique. Quelques extraits:
Mark Eyskens, ministre d'État:
« Le Pacte est un plaidoyer pour un retour à une certaine équité. J'attache également une grande importance au règlement des conflits d'intérêts et, par conséquent, des querelles entre les régions. C'est pourquoi je plaide depuis un certain temps pour la transformation du Sénat en un haut conseil fédéral composé de parlementaires élus, de membres de la société civile, d'experts et aussi de citoyens de la société. Cette institution serait là non seulement pour régler les conflits d'intérêts, mais aussi pour évaluer les propositions communautaires des partis et transmettre des solutions communautaires aux organes politiques eux-mêmes. Ce que les nationalistes ne veulent pas comprendre, c'est que plus les compétences sont transférés aux communautés et aux régions, plus une position belge unanime est nécessaire autour des tables du Conseil des ministres compétent au niveau européen. Là, les représentants de la Belgique doivent pouvoir faire entendre la voix de l'ensemble du pays. Les propositions du Pacte peuvent certainement y contribuer."
Freddy Willockx, ministre d’État :
« Je cosigne ce Pacte parce qu'il n'y a aucun soutien au sein de la population flamande pour entreprendre des démarches vers le séparatisme. En même temps, il est nécessaire de mettre en place une politique plus efficace. La crise du COVID nous l'a fait comprendre. »
Anne Morelli, historienne (ULB):
« Nous devons construire des ponts au lieu de murs. »
Max Temmerman (auteur) :
« Notre petit territoire. Ce sera à peu près tout, si vous voulez énumérer les limites potentielles de la Belgique. Nous sommes à l'avant-garde des beaux-arts, passés et présents. Nous sommes à l'avant-garde des découvertes dans de nombreuses domaines scientifiques et des évolutions sociales. Nous sommes riches et chanceux au-delà de toute mesure. Chaque comparaison internationale nous situera dans les échelons supérieurs. Nous parlons plusieurs langues et nous sommes situés à un carrefour au milieu de l'Europe. Quiconque considère la Belgique comme autre chose qu'un point de départ prometteur et invoque des intérêts contradictoires pour la rejeter, sert un agenda politique plutôt que le bien commun. »
Leo De Bock, réalisateur :
“Ceux qui poursuivent par tous les moyens la fin de la Belgique, et donc le séparatisme, le font sans tenir compte du résultat inévitable d'un appauvrissement général de tous les citoyens de ce pays et d'une augmentation de l'instabilité et de la dépendance. Le moins que l'on puisse dire de l'Union européenne est que, pendant des décennies, elle a permis à nos pays de s'épanouir dans la paix et la prospérité et a largement atténué les réflexes nationalistes et conflictuels qui y sont inhérents. Les nationalistes reviennent à la case départ. Ils sont un anachronisme. Le monde a profondément changé et il n'est pas possible de revenir à des réflexions identitaires totalement dépassées. Si nous ne parvenons pas à faire fonctionner l'Europe, nous serons le jouet d'autres puissances, un Occident. Si nous, en Belgique, ne parvenons même pas à faire fonctionner ce pays, comment diable pourrions-nous faire fonctionner l'Europe, notre ligne de vie ? Ce n'est pas une question.”
Paul Breyne, gouverneur honoraire :
« Je souscris aux huit principes du "Pacte", qui reposent sur une répartition équilibrée des compétences d'une Belgique fédérale efficace au sein de l'Union européenne, sans dérapage vers le confédéralisme ou le séparatisme. Comme les crises récentes l'ont montré, il est souvent nécessaire d'avoir une unité de décision dans un esprit de solidarité. »
Yves Petry, écrivain :
« Dans certaines circonstances, il se peut que je me sente Flamand, mais je ne suis pas très attaché à un programme nationaliste. Je n'ai aucun attachement idéologique ou émotionnel à son égard et le pur nationalisme centenaire me laisse totalement indifférent. L'agenda pour la Belgique, en ce qui me concerne, est le suivant : devenir le pays le plus européen d'Europe, un modèle à petite échelle pour l'Europe future. »